La peinture algérienne contemporaine apparaît dans les années 1920 à travers une première génération de précurseurs.
À partir des années 1950 la « génération de 1930 », la plupart de la dizaine des artistes qui la composent étant nés autour de cette année, conteste généralement la vision figurative et narrative, ressentie comme étrangère à la sensibilité maghrébine. Plusieurs tendances s'affirment, art naïf et expressionnisme, non figuration et peinture du signe.
Sur la fin des années 1960 le groupe « Aouchem » souhaite s'inspirer des traditions plastiques qui ont réussi à se maintenir dans l'art populaire.
Le recours à la graphie de la Lettre et du Signe soutient largement par la suite, les développements de la peinture algérienne.
Au début des années 1990 plusieurs artistes se tournent à nouveau vers la peinture figurative.